Un Roman
2008 – Réédition – 2023
WORK IN PROGRESS !
Ce premier roman maladroit est en cours de réédition. C’est le prologue d’une grande aventure surréaliste et picaresque.
En attendant la suite, la fin, et les nouvelles versions papier qui devraient bientôt arriver,
pour les plus curieux, un lien PDF sera disponible sous peu.
dernière mise à jour : 13 mars 2022
Un Roman
2008 – Réédition – 2023
WORK IN PROGRESS !
Ce premier roman maladroit est en cours de réédition. C’est le prologue d’une grande aventure surréaliste et picaresque.
En attendant la suite, la fin, et les nouvelles versions papier qui devraient bientôt arriver,
pour les plus curieux, un lien PDF sera disponible sous peu.
dernière mise à jour : 02 mars 2022
Ecriture Automatique - Imi Nashi 1/9 - 2012
Sur la lune charmante une idée s’éclipse lourde et transparente, chargée d’or et d’origan blond comme la cendre enflammée vers une planète lumineuse d’espoir interrompulsive marquée d’étrange orthographe et balancée d’enfants rouges en fleur sur une errance parfumée d’essence douce. Le trajet remord. Ressort d’une rancœur mûre. Alors, dehors, pluie et vent charment balances et coquelicots. Hier et demain rient du présent incontinent fier d’être maintenant en oubliant qu’il ne sera plus. La lecture en vers exalte ses sens fins parés d’engelures puissantes et lumineuses ouvrant grand les yeux du manant pressé d’unir sa foi à la vérité. La réponse est dans la question du sauvage acclimaté et raisonnable, dit le chant des vivants impatients. Demain, tu sauras mieux qu’hier et, délicat, tu comprendras le pourquoi du comment. L’amour n’est qu’illusion, le destin une lâcheté douée d’animosité. Sois humain, écoutes toi jouir de plaisir complexe motivé d’espoir. Il s’agit donc de dormir pour rêver d’une meilleure réalité empreinte d’or et d’orchidée. Une nuit douce et irréaliste plongée dans l’infini de l’univers. Je suis alors j’existe, et si j’existe alors je suis, si je crée alors j’existe et si j’existe alors je suis mortel face aux envies, face à la vie, face au fini qui droit comme un i me regarde me consumer. Il fait froid et dans la nuit je pense. Je pense que je suis et j’attends patient de dormir éternellement. Le sommeil est la clef des espoirs inespérés. Incompris, je reste sans mots celui qui respire ce qui fut inspiré. Dormons sagement sans espoir et créons avant de succomber. Grâce aux oiseaux, grâce à la vie qui expire la mort, l’oubli et l’ignorance font du savoir une pensée rare. Savoir tout. Maître des choses est une profession noble qui vaux l’amour et le partage. Plus on vole haut et plus on plonge bas mais l’important est de se savoir un et soi au milieu du monde. A quoi avoir conscience si l’arrivée est mystérieuse. L’important n’est peut-être pas de trouver mais de chercher, mais la quête, même infinie, reste grossière face aux espoirs qu’on y porte. Le paradis semble bien étroit et l’enfer n’existe pas. Alors l’ennui rend l’effort supportable. Créer pour combler, montrer, enseigner ce que l’autre ignore. Malgré les façons et les manières les imbéciles portent des lunettes alors qu’ils y voient clair, portent des shorts en pleins hiver afin de charmer par leur bêtise les plus sots des imbéciles. Tout le monde est concentré, pourtant, dans leurs yeux, même le vide est absent. La reproduction est l’objectif primaire qui fait des hommes de pauvres animaux. Tout à coup le loup sort de son trou et hurle qu’il a la raison, la foi en son libre arbitre. Il hurle qu’il peut même changer le destin et me montre sa main. A la naissance la gauche et la droite partagèrent les mêmes lignes mais l’expérience les changent. E.N.T, qu’il hurle le cochon, revient de sa maison et grogne qu’a dix kilomètre à la ronde s’entendent des révolutions. Le loup sursaute et hurle à l’oppression. Le destin pris en otage, chantent les éclipses incroyables voilant les vérités qui sont accrocs et bouffent les arguments. Les idées propres ne naissent pas forcement de la merde noire du monde. Infinis sont les ego qui jusqu’à la mort n’auront jamais raison. Les accidents garantissent l’improbable alors que tout ce que l’on a su se retrouve hypothèse dans le savoir. Réfléchissons. Réfléchissons, mais à quoi bon, cri le cochon. Peut importe les révolutions les loups mangeront toujours des cochons. Sur la grève, des galions de cuivre soufflent l’hédonisme cher aux cœurs d’hommes libres pour qui la fin n’est rien. Alors, sous les joies soignées de passions grandioses, ils poétisent dans de grands gestes traduisant leurs pensées sublimées d’or. Ils brillent d’accords spectraux violets se sachant cœur du monde. Leurs dieux c’est eux. Tous partagent la même foi involubile en leur sagesse future. Ce qu’ils savent n’est pas qu’ils ne savent rien mais qu’ils sauront, alors, peut-être sera-t-il trop tard pour le savoir mais tout le monde saura qu’ils avaient su. Ainsi file le temps inconstant hors des considérations matériels et des lubies outrancières. Il faut annihiler l’accessoire et interdire lunettes aux voyants. Alors, l’art pour l’Art contre l’ennui prend un virage périlleux sans fards. Essentiel essence suprême d’amour intéressé. Puisque l’homme crée avec sens et besoin, inutile de sentir une envie plus efficiente. Détruire pour ne rien reconstruire est suicidaire. Alors penser la création est nécessaire. Créer des enfants, des idées, des concepts, des besoins, ou des envies est à portée de tous et suffisamment intéressant pour oublier la mort, pour oublier l’oublier, pour s’oublier. Alors les Hommes dansent et chantent la fertilité. Déesse aux seize seins et au cul rond. Souplesse frivole sous dessous chics strassés d’emphase pure. Alors, les Hommes chantent l’amour pour procréer, s’oublier de l’autre, ou se rappeler aussi, échanger l ‘ego, qui pour conscience s’insuffle sous les blondes boucles d’un ange. Sourie une envie sucrées pour le palais, pour la passion. Par gourmandise on s’intoxique. Par veulerie on s’enrichit. Par amour on s’appauvrit. Drôle d’idée reçue, idée fausse. C’est seul que l’on meurt. Pauvre fadaise, cri le loup qui doutait philosopher. Écouter le chant du vent. Laissez vous bercer par les vibrations des temps. Libre arbitre. Illusion du choix. Destin immuable. Je suis moi, je suis tout donc je ne suis rien. Sans contradiction, la vie n’est qu’une suite d’accidents imprévisibles. Irrévocables. Dieu c’est la nature. Dieu est hasard. Je ne suis pas un point, je ne suis pas pion. Je ne suis pas tout, je suis moi. Mais nous sommes nous, tu es seul et solitaire car tu n’as pas d’ambition. Construit donc une pyramide, vole vers la lune. Il faut une équipe, au moins, un ami, au moins une famille. Pourquoi nager cent mètres quand tu peux construire un bateau ? Tu vis dehors alors que tu pourrais vivre dans un château. Il suffit de croire pour vouloir, de vouloir pour pouvoir, asséna le cochon. Je ne vis que pour mourir, cri le loup sous la lune pleine qui le regarde en souriant. Nuages fins, étoiles lumineuse, voix laiteuse, voix lactée sur laquelle roulent toutes les fleurs nées la veille. Demain sera aujourd’hui, après demain sera hier. Et les arbres rêvèrent doucement d’une aurore changeante, d’un lendemain plus divertissant ; être occupé à des banalités, s’amuser pour oublier à quel point il est difficile de se reproduire lorsque le but est flou. Avancer. Produire. Créer, procréer. Les enfants sont innocents. Ludique. Apprivoiser. Amusez-vous, apprenez comme les gens s’ennuient et passent leur temps à oublier pourquoi ils sont faits, murmure un murmure. Loin sur un voilier vert, tiré au large par des baleines argentées, les sirènes chantent le péril sain et sauf d’une journée chaude et aventureuse. Djembés aussi résonnent sur des trompettes tamisées. Demain n’est rien, hier n’est plus. Aujourd’hui est mais ne sera plus. Profite du chant, chantent-elles, profite de l’instant, demain nous ne seront plus car hier non plus nous n’étions pas. Nous sommes et tu es. les cygnes ont beau prévenir ta mort, cela ne te rend pas moins vivant. Alors vie, et vis. Alors vis et vivons pour le bien de l’instant. Ne pense pas au mal du lendemain Pour ou contre le mal du lendemain ne pense qu’au bien de l’instant présent. Regarde. Écoute. Réfléchie. Apprécie. Oublie le mal et le laid. Ne laisse aucun contraire envahir l’idéal. Aime le bien. Aime le beau. Alors. Ainsi. Donc, des choses naîtrons. Plaisir et volupté. Alors. Ainsi. Donc. Naîtront la joie et l’allégresse. L’envie est une harpie gourmande jamais rassasiée. L’envie ne se nourrie que d’envie. Et oublie l’espoir, car la déception arrive toujours derrière en courant, quémandant un bout de pain, ou une orange, ou une chaussette, ou en dansant, une fleur bleu turquoise, ou que sais-je, car pour rançon d’un plaisir tu en paieras trois. Alors. Ainsi. Donc. Profite du beau du bien. Apprécie. Réfléchie. Créer. Modifier est un talent rare qu’il faut exploiter pour le bien des autres, donc pour le bien de soi. Vous êtes capables. Tu es capable de rendre les gens meilleurs donc, tu te dois de venir baiser avec nous, ainsi chantaient les sirènes dénudées, avec de beaux seins bien ronds et des visages angéliques. Mais leur absence de vagin chagrinait le jeune homme prompt à penser à tout sauf à ça. Alors. Ainsi. Donc. En rythme nonchalant, vers la jeté, se jetèrent pour l’expérience, vers la vie qui appelait, quatre ou cinq flûtes, trois haut-bois, douze violons, pour l’encourager à accomplir ce qu’il voulait. Une ode à la volonté sans caprice de choix ni subterfuge d’envie de besoin. Jouir, faire jouir de la puissance. Viser bonheur. Contraindre le mal à se bonifier. Rendre heureux pour quoi, jeune homme ne savait pas. Choisi par les dieux de la nature, par le concours de circonstance, à se trouver, lui, là où il est, se demandant si son bien lui était suffisant, car, pensaient-ils tous, une somme de bonheur individuel crée nécessairement un bonheur collectif, mais lui doutait, il doutait de tout. Sa joie n’était probablement qu’illusion et être le satisfaisait. Peut-être même que dans l’instant. Alors. Ainsi. Donc. Les sirènes aux seins nus l’enjoignent à nouveau de capter, mais, lui, est désarmé, en proie à l’envie. L’envie de vivre qui l’empêche de vouloir mourir. La mort puisque entité ne réjouit pas son cœur léger. Alors. Ainsi. Donc. Dormons. Rêvons d’une réalité merveilleuse, d’un fantasme réaliste, d’une vie sous-entendue, d’un avenir fou, d’une pensée sur-raisonnée, d’un complet conscient, d’une aventure tranquille, de risque limité, d’espoir infondé, d’envie stérile, d’ambition avortée. Oh que la mer est belle, enchantée, riante. Le navire est loin mais se rapproche alors, on pourra monter et profiter de ses préparatifs tant chéris par l’envie d’aventure. Sans espoir, point de déception mais, point de foi, point de salut. Recherche. Divertissement enrichissant. Un grand sommeil noir fait profiter de l’incroyable lumière du Songe. Contraste heureux. Il Andante Cantabile. Le temps se rend clément. Le ciel, comme un seul nuage gris, se dissout. Le bateau grand et fort passe, chasse sur l’eau déguisé en sourie verte de conte de fée. Et quand des cors de chasse salue l’être attendu, les enfants se lèvent sur la pointe des pieds, s’ombragent de leurs mains transparentes. Les corbeaux croassent, se multiplient, se divisent en gouttes de pluie froide, et sur la crête chantent les mots soulagés. Belle est la terre vierge combattant l’impossible aimé, traître des illusionnistes, marquant la fin d’une aire d’où se forme l’hirondelle.
Automatic Writing - Surrealistic absolute nonsens - Imi Nashi 2/9 - 2012
From the wheel beyound hours straight grind from of heaven born a billy cross far beyond the score. Grind bailed wire drunked upon the time feel fear from behind. Cold missed flesh of reality can summon it but the sky remained grey. Blue was the wish. White was the hope ; last word wished to be lasted for the inquiry, for the healing billing shop. Black heaven of modern soul. Spicy turn of windy falls futured blessed thougt could hot be willed of. On suns hired bride, but the young man still had hope in love. Happy today means happy tomorow for light heart like his. Doors unlocked unlocked windows fresh wind coll dry sensed him up to forward a wont of amazoned spirits of dreamd lands You can go wherver you want you’r child of nature no need no wish just be the best You can and the world your world be Your world will be better so far be yourself you will be you Your price of Destiny Your legend can be made by you Yourself and alone think about the one whal has nothing compare cause thanks to them your the one for yourself the one who understand the one who know what others have no interreseted at all one of those who love love for love live for live that for that death for nothing cause you will not die you are and you will you are and you are beloved at least by your beloved Mother Don’t forget that evenone you can be evenone you one depus ose the ropet go be better do your best said the yellow wind crossed the window The burgmen wit don’t know what he win what he wanted in his mind he was good sourn to do not reed being better but Inside he knew that fulfill dousd of grey sourds are not as melodic as if could be jungled grooved rythms cause not sense Danse Interprete Soul of being wished but thin kings of thin made hom dancer for evermore Work for money Money forward cause belief gringer any more son of light flee gloomy dark for a better back shinyslot of Dreamly wind could fall purpose on tiny wind some billeSice as make the world greater than we earn Blur Green Red shield white cup great mighty stuff sound of sound minimal essence of dreamly waves so the digger found unless Grimmy sons wives getting hurt thinking durt welcomed this pain of life Don4t be silly be smart and well dark does not co;e on shiny yace Get up wake up for your right for their need good queen on heaven ploud said Hi to you don’t be impolite and give her hey with a truly face you both will be pleased One cofee two bucks of marijane Open spirit to deepless mind As for ground by back get two half white may dig througt bear and wife still You don4t gain verbal pain Ass hole of Galaxy turning back to the future steel fried chiken with ugly feet Also beco;e grey in white chamber the king is coming back from the land machiavelly sick All you will have will be blood and flesh on yellow cross Be kin instead the king and win the war concept and ideas will be your friend until the dark come light Then the pig bike down the river what else could he do on the fallen rock asked the team but no one answered as he wished to be the moon herself laughed at the poor piggy pig the wheel turn and the time stopped when what you had to stop whent what ? he asked like a drumed barrel as a drunk barrel he asked for an answer but the young man just forget what he has thing to think The file of the life are unbared dortal you have to seek he heard and be undrunk drunk could be begun to thing how to sleep begin sleepy let’s talk about Dream he said let’s talk about life one dealthy lets walk and pleasure cause what a man wants is just pleasure and entertainement he said you could be drunk or high but the primal need will be pleasure for sure the intelligent monkey said ‘course you do not reach pain you do reach pleasure for sure there is nothing left nothing you can put behind All you need is love love all you need is love he said and the young man stand by waiting for something which could be yours Yours behind him in front of her love of star Star of loved Then black became strong black medium light light dark smoother grey wild love at this wisses girl on the heaven hill bac eis better than nothing and much better than everything said the night buut almost grower fields given by thousand of winds scared the air and cleared everithing said the night. let the jazz swing got feels what you and thanks to christmas of america you’r able to think in anglish frenchy styled which is in between what you wished But listen Young son of beach You got the power doing everything so do something he said whit an unbeliviby greedy steecky wildy groovy fairy stincky wicky mouth of heavenly devil stoock in five So the chair begun red the table begun flesh the pen begun tool As far it could be straw of madness graced by the gods of bone drinkin strong alcool in front of the sea looking at women dressed like mermaid laughing at the sun Is everything about sex in this holy place thought the young men in an appropriate anglish made of darky shine Reality does needly parming soul in fight between eternal I don’t want to work I want to be late I want to be free had to said had to say had to saw without ending you cannot yelled the pig you cannot cause every good stories begins to finish you even start from the end being beloved by a pretty sexy french philosopher i have sex with some the pig said and free to be free but i’m not powerfully mighty smart boy like you listen to you look at your need and fulfill your anglish he said i’m not sure to understand what you want lonely son of beach De plus je parle francais putain de merde et les moutons et les oiseaux les dieux et les diables les consciences eparses d’enfants seuls restent comprehensibles meme avec des fautes d’orthographes but please say it to yourself the bargain blur of bluely deep in the infinity must be translate in word that you understand You can do nothing but you still have to think about it and nothing is much more difficult to conceptualise still you have to find the good word for the good circumstance nihongo de mo ii yo he said nonsense is not nothing is nothing fight for pleasure at least look at the unhappy look at the weak look at yourself said the pig and the devil agreed You can do everything just do something repeated the devil as he was saying it to hisself Are you happy enough asked the young man and the pig the devil the soneleg the birds said yes happy enough on the same time but it sounds liar to him so you have no need asked him yes we have not they said we have everything we need so if i can give everything you want you’ll say that you want nothing asked him Don’t you need a need don’t you want a wish don’t you wanna have sex with two sexy god of sex instead of one One is good enough they said but the devil stayed mute smockin a cigarette eye closed on lubric thinking You cannot do nothing Why not asked the young man fuck you all of you how can you tell me what is the best when you don’t know what need is yelled him Don’t you want me to leave No cause we love you so you want me to stay asked him we just want you to be happy But i’m happy he said fuckin boring sheep You can do nothing that’s why you have no need i’m leaving now. Then gone begun dark ink on silver mind for east of subway hills along bay wolfs said hello thanks for everything burning fear on glitter tears quaterback stand alone pink shit on marine trousers Treasure found back to hometown Silly flesh gilly blesh dance moon shot mars venus and gods themself if i need to need if i can ask for needs i can give a hand if i’m alone then they others must be i am who i am thanks to because of i thinking of who thinking of men thinking of when can not eat the fries Apple three if there if if there is then if is if but the pig did not understand meaning of being been All you need is love he said before leaving love and shit he said but the young man leaving green stays on the way in not sure to be sure about what to thing if meaning is then nonsense has mean said the cloud over his soul soon will be close overgrind manner of fact sensibility imagination future breack of time unleash dragon force you to be more than yourself success is yours you make long the god phone then what being sitting thinking of when to stand will not hes you to walk enjoying sadness helps enjoying happiness don’t forger that you are a thinking wave and thatdegina came here from forrest moon stone of card tarotocd wizarded dream one in foresting much more than white shirt seek the light seek follow even the night can be brighter than day july will be your friend’s day don’t forget to be absurd don’t forget to be meaningless said them in an faulty anglish made of dust trains giny goal of pink flower sand glasses on myopy world done dream seal and reality bullshit feeding dreamless humanity you can think that everybody is the same don’t forget that you are you more than yourself the devil said the pig took a magic hand tricked the young men and please take that fucking beat follow the fucking light he said.